Assurer l’avenir financier de son enfant handicapé
Voici la hantise de tous les parents qui ont un enfant avec un handicap, qu’il soit physique ou mental. Qu’adviendra-t-il de son enfant, lorsque nous ne seront plus là ou encore pire, encore là mais incapable de s’en occuper soi-même. Mettre en place un plan afin d’assurer le bien être de celui-ci devient alors un objectif à atteindre.
Nous aimerions vous présenter deux solutions pour y arriver. La première, le régime enregistré d’épargne invalidité (REEI). Ce régime qui a été conçu expressément avec cet objectif : assurer l’avenir financier de personnes avec un handicap. Mis en place en 2008, il est enore bien méconnu du public et même des intervenants en services financiers. Il permet l’accumulation de sommes au bénéfice la personne handicapée, et , a l’instar du régime d’épargne étude, le gouvernement fédéral y versera des sommes en lien avec les cotisations au régime et avec le revenu familial des parents.
Ces subventions peuvent même aller jusqu’à 3$ pour chaque dollars investit dans le régime. Ayant accès aux niveau de subventtions maximal, c’est pas moins de 10500$ qui pourrait être versé en contrepartie d’une cotisation de 4500$. Voici un solide argument pour ouvrir un tel régime et commencer à épargner pour son enfant!
Encore une fois, à condition de respecter les conditions au niveau du revenu familial, un bon pour l’épargne invalidité sera versé à la hauteur de 1000$ pour chaque année d’admissibilité jusqu’à concurence de 20000$ sans aucune contribution des parents.
Pas seulement les parents peuvent contribuer au régime, mais toute personne qui veut y contribuer. Une limite maximale de 200000$ à vie peuvent être contibué pour un bénéficiaire, qui se doit d’être admissible au crédit d’impôt fédéral pour personne handicapée, c’est la seule condition pour avoir l’opportunité de mettre un REEI en place. Qu’il soit mineur ou adulte, l’âge maximal pour la mise en place du REEI est de 59 ans.
Une autre solution peut paraître à la base moins séduisante, mais n’en est pas moins efficace. En complément avec le REEI, la souscription d’une police d’assurance vie sur les parents peut être envisagée. La prestation permettra alors de générer le capital nécessaire pour subvenir aux besoins de l’enfant suite au décès de ses parents. Une police payable au deuxième décès devrait être envisagée pour ce type de besoin. En plus d’offrir un coût bien moindre, elle assure hors de tous doute le montant voulu au décès, pas de risques de marchés financiers. Une police d’assurance vie permanente de 250000$ pour une femme et un homme de 45 ans non-fumeur coûterait moins de 2000$ par ans, ce qui en fait un excellent moyen d’épargne.
Vous avez cette préoccupation pour vos enfants ou encore connaissez une personne qui pourrait bénéficier de conseils avisés pour constituer un plan d’épargne au moyen de ces stratégies, n’hésitez pas à communiquer avec l’un de nos conseiller.
Nous aimerions vous présenter deux solutions pour y arriver. La première, le régime enregistré d’épargne invalidité (REEI). Ce régime qui a été conçu expressément avec cet objectif : assurer l’avenir financier de personnes avec un handicap. Mis en place en 2008, il est enore bien méconnu du public et même des intervenants en services financiers. Il permet l’accumulation de sommes au bénéfice la personne handicapée, et , a l’instar du régime d’épargne étude, le gouvernement fédéral y versera des sommes en lien avec les cotisations au régime et avec le revenu familial des parents.
Ces subventions peuvent même aller jusqu’à 3$ pour chaque dollars investit dans le régime. Ayant accès aux niveau de subventtions maximal, c’est pas moins de 10500$ qui pourrait être versé en contrepartie d’une cotisation de 4500$. Voici un solide argument pour ouvrir un tel régime et commencer à épargner pour son enfant!
Encore une fois, à condition de respecter les conditions au niveau du revenu familial, un bon pour l’épargne invalidité sera versé à la hauteur de 1000$ pour chaque année d’admissibilité jusqu’à concurence de 20000$ sans aucune contribution des parents.
Pas seulement les parents peuvent contribuer au régime, mais toute personne qui veut y contribuer. Une limite maximale de 200000$ à vie peuvent être contibué pour un bénéficiaire, qui se doit d’être admissible au crédit d’impôt fédéral pour personne handicapée, c’est la seule condition pour avoir l’opportunité de mettre un REEI en place. Qu’il soit mineur ou adulte, l’âge maximal pour la mise en place du REEI est de 59 ans.
Une autre solution peut paraître à la base moins séduisante, mais n’en est pas moins efficace. En complément avec le REEI, la souscription d’une police d’assurance vie sur les parents peut être envisagée. La prestation permettra alors de générer le capital nécessaire pour subvenir aux besoins de l’enfant suite au décès de ses parents. Une police payable au deuxième décès devrait être envisagée pour ce type de besoin. En plus d’offrir un coût bien moindre, elle assure hors de tous doute le montant voulu au décès, pas de risques de marchés financiers. Une police d’assurance vie permanente de 250000$ pour une femme et un homme de 45 ans non-fumeur coûterait moins de 2000$ par ans, ce qui en fait un excellent moyen d’épargne.
Vous avez cette préoccupation pour vos enfants ou encore connaissez une personne qui pourrait bénéficier de conseils avisés pour constituer un plan d’épargne au moyen de ces stratégies, n’hésitez pas à communiquer avec l’un de nos conseiller.